Undergrounder ? Post –ado lumineux ? Précurseur ? Philosophe éveillé ? … Difficile de qualifier le jeune Jacques Auberger (haut-perché), mais est-ce si important ?

Il répondrait probablement qu’il aime à provoquer cette confusion dans nos esprits cartésiens. Le verbe haut et en perpétuelle recherche de lui-même, il lutte immanquablement contre ses propres acquis. Irrévérencieux et digne héritier du dadaïsme, il explore la liberté sous toutes ses formes.

Tantôt co-organisateur de soirées branchées, tantôt squatteur démuni de tout, compositeur de musique électronique et artiste protéiforme, Jacques Auberger a quitté Strasbourg pour Paris il y a 5 ans dans le cadre du cursus « anti-scolaire » d’une école de plus en plus à la mode : l’école de la Vie.

Avec le collectif Pain Surprises, dont Jacques est co-fondateur, il entreprend de secouer l’ordre établi dans le domaine de l’audiovisuel et de l’événementiel, en redéfinissant progressivement sa posture envers les marques, et plus largement, en assainissant sa relation avec l’argent.

Son intervention :

La relation entre l’artiste et la marque (fuit la elle te suivra) la relation entre soi-même et les autres (pas besoin d’être d’accord pour agir) l’aspect futile de nos activités le monde qui se dessine Je vais m’appuyer sur : mon expérience avec les clients Pain Surprises mon expérience au sein de la constellation humaine qui m’entoure mes dernières lectures (sri ramana : sois ce que tu es) mes idées sur la tournures du monde